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Une folie, une passion ou un mode de vie qui dévore les jeunes. Peut-être avez-vous déjà vu ces actrobates dans vos rues ou sur vos places. Le malheur est que dans notre "beau pays" les riders ne sont pas pris au sérieux. Quoi de plus logique alors que de les retrouver sur les marches des monuments où ils ont pris l'habitude de sqatter? Les agents ont quant à eux pris l'habitude de les renvoyer. Tout ceci n'arriverait pas si les jeunes disposaient d'espaces spécialisés où ils pourraient s'exprimer en toute liberté (par exemple, des skate-parks ou des rampes). Le problème de l'argent subsiste: les communes n'ont pas souvent les moyens de collaborer à la construction d'un skate-park ou d'une rampe de roller. Il faudrait pourtant pouvoir demander l'aide de la commune.
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Déjà difficile pour les adultes, cette sollicitation s'avère un véritable calvaire pour les adolescents... et l'entêtement des uns et des autres n'améliore rien. Une solution existe: créer une association dirigée par un "adulte responsable" qui pourrait représenter les jeunes devant la commune. Et si cela ne suffit pas, il faudrait en plus essayer de ramener des fonds et tourner une vidéo où on pourrait admirer les meilleurs riders de la région. Un moyen peut-être de donner davantage de poids aux revendications des jeunes. Mais attention, ceci n'est pas la recette miracle! Et peut-être même qu'après toute cette débacle d'énergie, les riders devront continuer à chercher des spots sympas dans le coin. Et alors, osera-t-on encore dire qu'il y a un réel dialogue entre les jeunes et l'administration ?!
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