Durant les dix dernières années de
sa vie, Rops, qui souffre depuis 1892 d'une maladie des yeux,
continue à travailler dans une atmosphère paisible
à la Demi-Lune, sa propriété d'Essonnes près
de Paris. Il y donne libre cours à sa passion pour la botanique
et crée de nouvelles variétés de roses.
Jamais il ne cessera d'entretenir avec ses amis
une correspondance passionnante. On recense, en effet, plusieurs
milliers de lettres de Rops, excellent épistolier.
Il meurt le 23 août 1898, à Essonnes,
entouré de Léontine, Aurélie et Claire, et
de ses amis les plus intimes.