Journaliste d'un Jour -

Mardi 24/09/1996 à 17:37:25

Braine-l'Alleud : Stups : pas de brigade, mais des actions

Elle court, elle court la rumeur. Ces derniers jours, dans la conversation des jeunes brainois, il fut beaucoup question de l'existence d'une brigade anti-stupéfiants de la police.
Aucune " brigade anti-stup " n'existe à Braine-l'Alleud, mais par contre, la police a entrepris de démanteler les réseaux de stupéfiants en remontant les filières. L'opération " grand nettoyage " a pour but d'arrêter les dealers et les consommateurs, de conseiller ces derniers et les suivre afin d'éviter toute récidive.
Les techniques de démantèlement employées sont les contrôles de routine, les
interrogatoires et la surveillance de certains suspects. De toute manière, avant d'interpeler un suspect, les magistrats doivent notifier la " privation de liberté " à la police. Ceux-ci procèdent alors aux interrogatoires dont les résultats sont soumis aux magistrats.
Une fois arrêtés, des analyses d'urine, des conseils de psychologues et médecins permettent de contrôler le comportement des consommateurs. La cellule active regrette tout de même le manque de personnel, de formation et de moyens pour lutter efficacement contre la vente et la consommation de stupéfiants...

Emmanuel ROY, Sébastien GOFFE

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Posté le Mardi 24/09/1996 à 17:37:25
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Mardi 24/09/1996 à 17:37:25
Braine-l'Alleud : Stups : pas de brigade, mais des actions
Elle court, elle court la rumeur. Ces derniers jours, dans la conversation des jeunes brainois, il fut beaucoup question de l'existence d'une brigade anti-stupéfiants de la police. Aucune " brigade anti-stup " n'existe à Braine-l'Alleud, mais par contre, la police a entrepris de démanteler les réseaux de stupéfiants en remontant les filières. L'opération " grand nettoyage " a pour but d'arrêter les dealers et les consommateurs, de conseiller ces derniers et les suivre afin d'éviter toute récidive. Les techniques de démantèlement employées sont les contrôles de routine, les	interrogatoires et la surveillance de certains suspects. De toute manière, avant d'interpeler un suspect, les magistrats doivent notifier la " privation de liberté " à la police. Ceux-ci procèdent alors aux interrogatoires dont les résultats sont soumis aux magistrats. Une fois arrêtés, des analyses d'urine, des conseils de psychologues et médecins permettent de contrôler le comportement des consommateurs. La cellule active regrette tout de même le manque de personnel, de formation et de moyens pour lutter efficacement contre la vente et la consommation de stupéfiants...
Emmanuel ROY, Sébastien GOFFE